Vous Accompagner vers la Qualité de Vie au Travail
Vous êtes une association loi 1901, une collectivité territoriale, un établissement public,
Vous vous préoccupez de la qualité de vie au travail dans votre organisation, parce que vous savez qu’une prise en compte des sujets de santé au travail favorise l’implication et l’efficacité au travail des professionnels.
Je peux vous accompagner :
– en prévention des risques psychosociaux
– en soutien des managers
– en appui à la Direction Générale et aux Ressources Humaines.
Qui suis-je ?
Consultante et Coach depuis 2005, j’accompagne, en individuel et en collectif, les établissements du secteur associatif (médico-social, éducation populaire…) pour leurs problématiques de prévention et gestion des risques psychosociaux.
Je m’engage pour prévenir la souffrance au travail des professionnels, ce qui, en conséquence, rejaillit positivement sur le bien-être des personnes accompagnées.
Spécialiste des associations, j’interviens dans l’économie sociale et solidaire, la fonction publique et la fonction territoriale, depuis 30 ans.
J’accompagne les organisations sur des thématiques telles que le management / la qualité de vie au travail / la souffrance au travail / la cohésion d’équipe / la prévention des risques psychosociaux (RPS) / la prévention des conflits.
Parmi mes clients, des associations autonomes, des structures faisant partie de réseaux, de fédérations, de mouvements : Réseau ADAPEI – Ligue Havraise – Réseau Missions Locales – Maison d’Accueil l’Ilot – Mouvement UDAF – Fédération des Centres Sociaux – Centre National d’Information des Femmes et des Familles (CNIDFF) – Fédération des MJC / MPT, secteurs du Handicap, de l’Autisme, de la Protection de l’Enfance…
Votre accompagnement en prévention des risques psychosociaux
Objectif d’une enquête préalable sur les RPS
1. Mettre en évidence les déterminants en lien avec les effets sur la santé
Ce sont par exemple :
- Les violences internes. Précisons que les violences sont rarement des agressions physiques. Il s’agit plutôt de conflits, de tensions, de conduites agressives, autoritaires voire, humiliantes.
- Le stress, l’épuisement professionnel,
- L’épuisement émotionnel et / ou éthique (perte de sens, sentiment de mal faire son travail…)
- Le sentiment d’insécurité (changements organisationnels, changement de modalités de travail, crainte de perte son emploi…)
De façon à comprendre les états de souffrance des professionnels et proposer des pistes pour modifier cette organisation porteuse de telles situations.
2. Mettre également en évidence les points positifs
Il sera possible de s’appuyer sur ces points positifs pour mener les actions. A titre d’exemples, il peut s’agir :
- de professionnels investis dans leurs missions,
- d’instances représentatives du personnel actives,
- de l’existence d’une volonté partagée de s’engager dans une démarche de prévention,
- de l’existence d’un Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels (DUERP) actualisé
- etc…
De façon à identifier les points d’appui qui favoriseront la mise en œuvre d’un plan d’actions, qui sera le point de départ d’une démarche de prévention.
Méthode de réalisation du diagnostic
Pour établir un diagnostic, ma préoccupation est de rester sur un plan strictement professionnel : ni psychologique, ni juridique, les ressources et contraintes identifiées dans la structure doivent être objectivées par des situations de travail et / ou des relations de travail.
Cette objectivation se fait :
- par l’observation de situations de travail concrètes
- par des entretiens individuels et collectifs
- par de l’analyse de documents
L’enquête, au travers de la compréhension du travail réel et du ressenti des salariés concernés, doit notamment avoir pour objet d’analyser les facteurs de risque tels qu’issus des travaux de l’équipe de Michel GOLLAC et de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) :
- L’organisation du travail,
- Les exigences du travail,
- L’intensité et le temps de travail,
- Les exigences émotionnelles,
- Le degré d’autonomie et de marges de manœuvre,
- La nature et la qualité des rapports sociaux au travail,
- Le soutien social,
- La souffrance éthique ou les conflits de valeur,
- L’insécurité de la situation de travail ou de l’emploi,
- L’environnement macro-économique.
La durée du diagnostic RPS
Réaliser un diagnostic en risques psychosociaux dure généralement entre 2 mois et demi et 3 mois. Cette durée correspond au temps écoulé entre la rencontre du comité de pilotage et la présentation des travaux aux salariés concernés par le diagnostic.
Ce temps est difficilement compressible. Analyser les situations de travail pour bien comprendre ce qui se joue dans la structure prend du temps. Le nombre de jours consacré à ce diagnostic dépend, quant à lui, de la taille de la structure.
Vos livrables
A l’issue du diagnostic, vous disposez d’un rapport détaillé qui reprend :
- La démarche utilisée pour réaliser le diagnostic
- L’analyse de ce qui a été vécu et / ou ressenti lors de certaines situations de travail
- Les préconisations pour votre plan d’actions de prévention RPS.
Carole Logiez
Tel : 06 03 52 95 39